La Femme Triste.
Au coin d'un œil une perle tombe.Dans un silence s'alerte
La lacrymale tombe
Les pupilles demeurent inertes...
Comme fixer dans la rime,
Un beau visage blafard
Où le néant s'exprime
Dans l'inertie du cafard...
La pause demeure la même
Depuis que l'horloge s'en est arrêtée...
L'épuisement sème,
La poussière toilettée...
La veuve noire tisse
Le linceul du tombeau...
Et la mort tapisse
La plume de corbeau.
