Le soupir funèbre d’un soir d’été.
Ciel paisible teinté de bleu assombri ;Deux vagues parallèles d’un sable gris.
L’apparence de salissure plonge en silence…
Quelques lumières flash attirent la vigilance.
Le spectacle théâtral s’annonce fraternel
Avec le soupçon d’une étrange éternelle…
Un vent s’est hâtivement levé ; danse mortel
. Là-haut, les cieux ronchonnent lourdement…
Puits gris céleste dans cet assombrissement
Intriguée mais captive, l’attention scrute l’éclair…
… trouble l’écriture ; la plume en galère...
L’air semble s’assagir… sans la moindre…
…sans la moindre goutte de pluie
… juste les obscurités de la nuit
où s’ajoute cet étrange orage… sec.
L’étendue… confuse… triste spleen ténébreux…
Des âmes fulgurantes... filantes ; instant dangereux...
Sans pleuvinant le soupçon d’un cristal… en kyrielle…
Mes yeux se baissent, le reflet ébloui m’interpelle.
De tout coin, le ballet semble … limbes torturés.
De tout coin, le ballet semble… orchestré.
De tout coin, le ballet semble… voilé
Le soupir funèbre d’un soir d’été.
